Ce lundi 7 mars, l’association Les Grandes Tables du Monde (LGTDM) a réuni ses membres pour le lancement du Guide 2022, au Shangri-La à Paris (XVIe). Le président David Sinapian a également annoncé le lancement d’une Charte éthique.
Avec le congrès, le lancement du Guide est le deuxième grand événement annuel de l’association Les Grandes Tables du Monde. Des retrouvailles encore plus attendues qu’à la normale, après deux années de pandémie et de vives incertitudes. « En 2022, Les Grandes Tables du Monde, ce sont 178 restaurants répartis dans 23 pays et sur les 5 continents. 178 Maisons rassemblées autour de valeurs communes : la générosité, l’accueil, des lieux uniques avec des personnalités diverses en quête d ‘excellence. (…) Des valeurs de partage, d’ouverture, de passion et d’amitié. Tous unis par une fierté d’appartenance qui constitue l’ADN même de l’association« , débute David Sinapian, président de l’association. Ils sont donc 7 nouveaux établissements à faire leur entrée :
- Boury, de Tim Boury en Belgique
- D’O, de Davide Oldani en Italie
- La Merise, de Cédric Deckert en France
- La Scène, de Stéphanie Le Quellec en France
- Mudec, d’Enrico Bartolini en Italie
- Osch Noir, de Manuel Ulrich en Allemagne
- Restaurant Ikarus – Hangar 7, de Martin Klein en Autriche
La Charte éthique, un outil de travail pour valoriser des engagements
« Mais à quoi servent les Grandes Tables du Monde ? David Sinapian pose cette question devant les professionnels présents, avant d’en détailler la réponse. Déjà cette association est un ensemble d’établissements très différents qui partagent les mêmes valeurs, les mêmes buts et réfléchissent à l’évolution de leur métier pour mieux répondre aux enjeux du monde moderne. Un réseau qui doit s’entraider, communiquer et partager ses expériences. Aux yeux du grand public, LGTDM sont un gage de valeurs, la marque d’un établissement de qualité, un sceau internationalement connu et reconnu. Mais aussi un gage de diversité, de plaisir et de promesses tenues en termes d’expériences inoubliables. »
Pendant cette période Covid, le Conseil d’administration LGTDM a réfléchi à différents projets, dont le lancement d’une Charte éthique – qui est avant tout un outil de travail. « Nous voulions écrire noir sur blanc les engagements qui font sens, les valeurs qui animent l’Association, comme la réduction de l’empreinte écologique, la limitation de la consommation d’eau et d’énergie, l’usage du plastique à usage unique, la réduction du gaspillage alimentaire, la promotion du tri sélectif et la revalorisation des déchets… Les chantiers sont vastes et passionnants« , conclut David Sinapian.