Exit « l’inutile », la table de l’Écrin est simple et épurée. « Nous ne voulions pas la surcharger afin que le client contemple le lieu où il s’attable. Elle est dressée au fur et à mesure du repas », dit la directrice de salle, Claire Sonnet. Un soin tout particulier a été apporté aux arts de la table, des pièces uniques dessinées par les céramistes Virginie Boudsocq, Élisabeth Monroy et Élodie Meirsman pour l’Hôtel de Crillon, et qui font véritablement partie de l’expérience du client. Des contenants aux incroyables formes et motifs, comme la cloche et l’assiette en champignon. À retrouver en début de repas, donc : un verre à pomponne (sans pied) – en clin d’œil à Marie-Antoinette qui, à l’époque, préférait le conserver à la main pour éviter tout risque d’empoisonnement – de la maison Zalto, et une timbale à eau en bi-matière de la Cristallerie Montbronn, une composition du designer floral Djordje Varda, et un photophore en porcelaine imitation papier.